Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute déduction botanique. Les fleurs nocives continuaient de faire au cours des semaines, chacune porteur d’un éclat intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en conséquence de leur forme
En Crète, au printemps 2029, les pentes de l’ancien volcan Thronos se couvrirent d’une végétation inattendue. Là où la lave avait coulé, florale néfastes à reflets argentés jaillirent de la cendre encore lâche. Ces fleurs, inconnues des botanistes, devinrent facilement le centre d’une riche singulière : la floromancie post-volcaniq
Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute pensée botanique. Les fleurs mauvaises continuaient de entraîner au cours des semaines, chacune porteur d’un éclat intérieur, indécelable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales en suivant leur forme, de leur